Mémoire | Projet pédagogique

WeRemember

La plateforme WeRemember a pour objectif de transmettre la mémoire de la Shoah et des autres génocides du XXe siècle, à travers des supports adaptés aux usages et pratiques des jeunes sur internet (podcasts, vidéos, photos, BD...). 

En ligne

Parler de la Shoah en particulier, et des massacres de masse du XXe siècle (génocides des Arméniens, des Tutsi, massacre de masse des Cambodgiens) avec les outils du temps présent, afin de sensibiliser les jeunes à ces thématiques : telle est l'ambition de cette nouvelle plateforme internet lancée par Alain Granat, le créateur du site Jewpop, ce 27 janvier 2021, journée internationale à la mémoire des victimes de la Shoah. 

Concrètement, ce site se présente comme un webmagazine qui propose des modules racontant chacun une histoire - celle d'une personne, d'un lieu, d'un moment - et à travers un support qui peut être : un album photos, une vidéo, une BD, un podcast, une infographie... Le site conjugue le storytelling avec la rigueur historique indispensable quand on parle de ces sujets. 

Tandis que les derniers témoins de la Shoah disparaissent, la transmission de son histoire et de celle des génocides contemporains auprès des jeunes générations devient un enjeu majeur et un défi complexe. D'où la nécessité de se démarquer et de proposer des contenus qui puissent être ensuite relayés sur tous les supports majoritairement utilisés par les jeunes internautes (Instagram, Facebook, Twitter, YouTube, Flicker, Snapchat, podcasts...).

Page d'accueil du site We Remember 

Page d'accueil du site We Remember 

On peut ainsi lire en BD l'histoire d'Helga Weiss, voir la reconstitution en 3D du camp de Treblinka, écouter l'histoire de Jeanne Weill (un podcast soutenu par la Fondation) ou le témoignage de Benjamin Rutabana, rescapé du génocide des Tutsi, regarder une animation vidéo pour comprendre le génocide des Arméniens...

Le site WeRemember a prévu d'enrichir régulièrement son contenu au rythme de trois nouveaux articles par semaine, et de développer à moyen terme une version anglophone.  


Ce projet a reçu le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.