Lutte contre l'antisémitisme |

L'Institut Memri : une veille médiatique sur l'antisémitisme et le négationnisme

L'Institut Memri mène une veille minutieuse de l'antisémitisme et du négationnisme dans les médias moyen-orientaux. Il crée un pont entre l'Occident et le monde Arabo-musulman en traduisant des articles et vidéos arabes, turcs et farsis, et analyse les tendances politiques, idéologiques, culturelles et religieuses de la région.

L'Institut de veille et de recherche Memri décrypte les médias du Moyen-Orient. Il crée un pont entre l'Occident et le monde arabo-musulman au moyen de traductions de médias arabes, turcs et farsis. Memri fournit également des analyses originales des tendances politiques, idéologiques, culturelles et religieuses de la région.

Créé en février 1998 pour apporter des éléments d'information au débat sur la politique américaine proche-orientale, Memri est une organisation indépendante, non partisane, à but non lucratif. Elle a des bureaux à Londres, Tokyo, Rome, Bagdad et Jérusalem.

Elle fournit des traductions d'articles de presse ou d'émissions de télévision du monde arabo-musulman en anglais, allemand, espagnol, français, hébreu, italien et japonais.

L'organisation étend aujourd'hui sa veille de l’antisémitisme et du négationnisme en se focalisant notamment sur les réseaux sociaux, dont l’ampleur ne cesse de croître avec l'augmentation du nombre d'utilisateurs et la diversification des réseaux et applications. Peu contrôlés, les réseaux sociaux sont le lieu de l’émergence de nouvelles "tendances" antisémites.

Cette veille minutieuse permet également de repérer et de faire connaître les progressistes qui, au Moyen-Orient, élaborent une réflexion politique humaniste. Nombre d'entre eux n'hésitent pas à prendre la plume pour dénoncer avec vigueur l'antisémitisme.

Memri est aujourd'hui la seule organisation au monde à proposer une veille aussi complète et aussi systématique des médias moyen-orientaux. Un travail primordial qui nourrit la réflexion et les travaux de beaucoup de journalistes, universitaires ou documentaristes soucieux notamment de documenter l’antisémitisme contemporain.

La Fondation soutient ce programme, et en particulier son accès aux francophones.