À la libération du camp d’Auschwitz, Alex Mayer n’a qu’une priorité : écrire. Pour lui-même, pour tenter de comprendre, mais aussi pour ceux qui ne sont plus. C’est sur des formulaires qu’il commence à écrire son journal. Il raconte la bravoure et la cruauté, la folie, les petits gestes qui sauvent et ceux qui condamnent.